Bien que les colloïdes d’argent soient actuellement employés dans des domaines aussi variés que la chimie, la cosmétique ou l’agroalimentaire, ce sont les applications médicales qui retiennent notre attention.
Le docteur Henry Crooks, grand spécialiste américain actuel de l’argent colloïdal, a démontré que :
- Aucun microbe ne résiste plus de six minutes à l’argent colloïdal
- L’argent colloïdal n’est pas toxique, et est sans effet nocif sur l’organisme humain
- L’argent colloïdal est extrêmement « germicide » (antibiotique)
Etudes cliniques à l’appui, l’argent colloïdal jouit d’une action antibactérienne qui réprésente une alternative naturelle authentique aux antibiotiques devenus actuellement incapables de vaincre certaines souches bactériennes très résistantes. C’est pour cette raison qu’il faut prendre conscience que l’argent colloïdal doit être pris sérieusement en considération, et dans l’immédiat, et dans les années à venir.
Les concentrations anti-infectueuses d’argent colloïdal oscillent entre 5 ppm (concentration minimale) et 20ppm (concentration maximale), la concentration optimale pour une meilleure efficacité est 15ppm, le juste milieu. Nous préférons toutefois proposer des solutions d’argent colloïdal à 10ppm ou 15ppm. Sur demande, nous pouvons produire de l’argent colloïdal à 25ppm.
Les méthodes de production de l’argent colloïdal
Plusieurs méthodes existent pour la production d’argent colloïdal. Comme elle produisait de tros grosse particules, de l’ordre de 100 microns au fond de la solution, l’ancienne méthode de broyage mécanique n’est quasiment plus utilisée de nos jours. Dans certaines pharmacies, on en trouve tout de même encore un peu. Afin d’éviter cette précipitation, il fallait utiliser des stabilisant dénaturant le produit. A base de protéines, ils induisaient, en injection, des chocs anaphylactiques si on répétait les injections.
A la fin des années 1920, la méthode mécanique a laissé place à la méthode électrique. Elle consiste à mettre des électrodes d’argent dans l’eau, et à travers les électrodes, un courant continu est envoyé dans l’eau. Cette électrolyse détache les ions, ions qui sont attirés par la cathode (électrodes négative) depuis l’anode (électrode positive). L’encrassement de la cathode est l’inconvénient de cette méthode. Pour éviter cet encrassement, il faut donc un système d’inversion de polarité. Pour produire notre solution d’argent colloïdal, nous employons cette méthode.
Particules métalliques ou ions, lequel est le plus efficace ?
Les experts ont des avis partagés sur ce sujet. En faveur de l’un ou de l’autre, diverses théories et de nombreux arguments sont avancés. D’après tous les témoignages reçus, ce qui est certain c’est que les deux types semblent tout aussi efficaces pour les produits de haute qualité.
Tandis que l’argent métallique est plus efficace contre les infections, notamment d’origine virale, les ions d’argent font merveille pour les applications locales et les pansements (on applique sur les blessures de la gaze trempée dans une solution d’argent colloïdal).